lundi 19 mars 2007
Pour toi belle inconnue...
J'inaugure la section poésie de ce blog avec une chanson/poésie écrite il y'a plusieurs mois, en novembre pour être précis
Elle est dédiée à une charmante inconnue que je croisais dans les couloirs de mon IUT (de moins en moins malheureusement), et qui , comment dire me faisait ressentir comme des frissons dans la colonne vertébrale... ceux qui connaissent ça comprendront....
je ne connais même pas son nom
et je n'ai d'elle qu'une impression
ses yeux me plongent dans l'oubli
rien ne va plus quand elle sourit
j'fais des fixettes et jy peux rien,
j'aime bien ses yeux j'aime bien sa tête
quand je la voit le temps s'arrête
mais j'suis malheureux comme un chien...
son parfum traine dans le couloir
je l'ai croisée encore ce soir
nos regards se sont appuyés
mon esprit semblait s'envoler
existe il un seul espoir
je ne veux même pas y croire
ma timidité m'en empêche
meme si je fais taire mes complexes
l'occasion révée je l'attends
je n'la saisirais pas pourtant
j'en meurs d'envie j'en crêve d'angoisse
je n'ose rien je porte la poisse
quand je l'écoute sans qu'elle me parle
je voudrais juste qu'elle me regarde
sa voix m'enporte, pourtant hélas,
je ne me sens pas à ma place...
maintenant les regrets vont venir
dès que je vais la voir partir
peut être était ce la bonne
faudrait il que je me pardonne ?
de n'avoir rien fait pour l'instant
de ne pas lui dire mes sentiments
devrais je toujours en souffrir
mais comment les laisser sortir ? ...
et je n'ai d'elle qu'une impression
ses yeux me plongent dans l'oubli
rien ne va plus quand elle sourit
j'fais des fixettes et jy peux rien,
j'aime bien ses yeux j'aime bien sa tête
quand je la voit le temps s'arrête
mais j'suis malheureux comme un chien...
son parfum traine dans le couloir
je l'ai croisée encore ce soir
nos regards se sont appuyés
mon esprit semblait s'envoler
existe il un seul espoir
je ne veux même pas y croire
ma timidité m'en empêche
meme si je fais taire mes complexes
l'occasion révée je l'attends
je n'la saisirais pas pourtant
j'en meurs d'envie j'en crêve d'angoisse
je n'ose rien je porte la poisse
quand je l'écoute sans qu'elle me parle
je voudrais juste qu'elle me regarde
sa voix m'enporte, pourtant hélas,
je ne me sens pas à ma place...
maintenant les regrets vont venir
dès que je vais la voir partir
peut être était ce la bonne
faudrait il que je me pardonne ?
de n'avoir rien fait pour l'instant
de ne pas lui dire mes sentiments
devrais je toujours en souffrir
mais comment les laisser sortir ? ...
Commentaires
très jolie ta poesie mon ptit ben.
jaime bcp et g ressenti un peu le meme sentiment et voila, tu ma effectivement donné des frissons dans le dos qui remonte a la colone vertébrale,merci pour cette jolie poesie qui me plait a lire